Alda, trente-sept ans, célibataire, est professeur d'allemand et d'anglais dans un lycée islandais. Riche, cultivée et particulièrement belle, elle partage sa vie avec sa soeur Alma et sa nièce Sigga dans la propriété héritée de ses illustres parents. Avec le mépris d'une aristocrate blasée, elle y reçoit ses nombreux soupirants. Jusqu'au jour où, ardent comme le vent des Skjol, radieux comme la nuée en juillet, l'amour va faire chavirer son coeur... " Steinunn Sigurdardóttir nous offre un portrait de femme, et plus précisément un portrait d'islandaise, libre et isolée, une femme voyageuse et polyglotte, une femme de ce pays où l'hiver fait du jour une nuit et de la peine une mélancolie. " Libération. " Cela n'a l'air de rien. Et c'est un chef d'oeuvre . L'histoire d'un amour passionné, exclusif, incurable.
CENT PORTES BATTANT AUX QUATRE VENTS
Plus de vingt ans ont passés depuis que Brynhildur a quitté Paris où elle a été étudiante à la Sorbonne. Mais un court séjour dans la capitale ainsi qu'une aventure inattendue et sans lendemain la projettent malgré elle face à ses souvenirs de jeunesse, parmi lesquels, celui du grand amour à côté duquel elle est passée. Pourquoi ne saisit-on pas le bonheur lorsqu'il passe ? Pourquoi tous ces tourments et ces attirances non réciproques ? Un roman émouvant et bien construit sur les amours et l'érotisme, les dons des dieux et leur cruauté. Peu de poètes peuvent se flatter d'égaler Steinunn Siguroardóttir quand il s'agit de disséquer la nature de l'amour.